…Il s’en est fallu de peu qu’il ne soit hyperréaliste, à ceci près qu’à la réalité il ajoute son grain de sel qui ressemble très souvent à du poil à gratter. Le théâtre social dont il se fait le metteur en scène nous renvoie à la vie quotidienne, dans son étrange et consternante banalité. Au point parfois d’en devenir cinglant. Tel est l’univers fascinant de Frédéric Blaimont, artiste à la fois tendre et singulièrement ironique…

Luis Porquet,Journaliste et critique d’art.

…La technique minutieuse de Frédéric Blaimont n’a rien à envier à celle des Hyperréalistes. Il est toutefois moins porté à témoigner qu’à observer sur le vif. Comme Hopper dans sa Femme dans le métro il fait confiance à l’instantané pour inventer le typique — ses scènes sont singulières en même temps qu’elles ont quelque chose de « déjà vu »….

Pierre Rey, Journaliste, philosophe et ami.

…Il peint des tableaux d’une puissance inouïe qui représentent des gens, vous, moi, tout le monde, dans des situations banales, habituelles. Ils sont nature, vrais, absolument vrais, terriblement vrais. Avec leurs imperfections, leurs travers, leurs « manières ». Mais aussi avec le petit détail, presque imperceptible, qui leur donne un charme craquant, irrésistible…

Jean-François Cournot,Collectionneur et ami