Réalisatrice de documentaires de métier, Négar ZOKA a depuis 30 ans toujours eu en parallèle une activité de gravure, d’abord en taille douce traditionnelle et depuis 10 ans en utilisant une technique originale qu’elle a choisi de nommer « scotch plissé ». Formée aux Ateliers des Beaux Arts de la Ville de Paris par Agnès Gauthier-Chartrette et Brigitte Combes, puis plus tard par Dominique Alliadière, Elle a participé aux portes ouvertes des Ateliers de la Bièvre et à la Journée de l’Estampe de la Place Saint Sulpice en 2017 et 2019. En Novembre 2018 et en Décembre 2021 elle a exposée seule à l’atelier 213 dans le 12eme arrondissement de Paris, sous le thème du « Corps réduit » et « Portraits en solitude». En Octobre 2022, elle a participé à une exposition collective au Parc Floral de Paris avec le collectif « Deconstructive Figuration Art Project ». Son oeuvre porte essentiellement sur le corps et son expression par le mouvement (série « Le corps réduit »). Plus récemment, elle s’intéresse au portrait à travers une série «portraits en solitude ». De plus en plus, elle intègre des papiers découpés à ses œuvres.

Film director by profession, I have been making prints for more than 20 years in various collective or individual workshops (Ateliers de Beaux arts de la Ville de Paris, Ecole Duperré, workshop of Colette Birambo, ...) After having worked with traditional techniques, in particular etching, I have been interested for a few years in a technique that combines tape and plexiglass to produce limited edition prints. I now have a fairly large body of work that centers mostly on human figures. My main concerns are: how do we recognize a human body when reducing it to its essence ? How do we express emotions through bodies with no context and a minimal structure? And last but not least: how can we integrate the eye of the spectator and make him reconstruct his own image through the patterns and lines that the artist has drawn on paper?