Richard Laillier travaille par séries, dont l'ensemble constitue le « Théorème de l'assassinat ». Il sculpte l'ombre pour faire apparaître la lumière, révélant des formes précises et souvent évocatrices de l'inconscient, de l'humain ou de l'imaginaire d'enfance. Son œuvre touche à l'absolu par sa dévotion et la confluence entre puissance et fragilité.